A l’image des autres agglomérations, la métropole nantaise a pris elle-aussi, depuis 2004, le train des quartiers durables.
L’«objectif éco-quartier» monte en puissance et permet la percolation d’un triple souci de durabilité sociale et écologique, de «performance» et de qualité au sein de la sphère politico-technique (de plus en plus d’acteurs embarqués / enrôlés / intéressés).
Démarche et méthodologie
L’objectif «éco-quartier» est abordé comme un analyser permettant de saisir dynamiquement :
- la mise à l’agenda de cette nouvelle «carte» à jouer sous la pression du jeu concurrentiel entre les villes et en lien avec l’irruption des enjeux planétaires amplement médiatisé qui renvoient le local à prendre ses responsabilités et à reconfigurer ses modes de faire la ville et à «faire la preuve» par l’éco-quartier,
- les concrétisation spatiales et processuelles de cette nouvelle modernité responsable qui peuvent enclencher des déplacement de sens de l’éco-quartier et des relectures de l’action urbanistique.